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paul allies - Page 6

  • Paul Alliès - Gauche en forme

    Ce week-end, deux centaines de militants socialistes se sont réunis à Bellerive-sur Allier près de Vichy pour débattre du thème: "Rassembler la gauche et les écologistes" proposé par la revue "Démocratie et socialisme" de Gérard Filoche. L'échange entre membres de diverses tendances du PS mais aussi avec les représentants des diverses formations de gauche a été une incontestable réussite. Un moment heureux dans ce contexte de démoralisation entretenu par les propos mortifères de M. Valls et J.C. Cambadelis.

    La palette des opinions représentées était très large: pour ce qui est du PS, les membres de divers courants de gauche, mais aussi des parlementaires proches de B. Hamon et des amis d'A. Montebourg étaient là. Emmanuel Maurel, l'efficace leader de l'opposition montante (et tout nouveau député européen) incarnait une synthèse des sensibilités qui se dessine semaine après semaine.

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  • Paul Alliès - Une logique pour réformer le territoire

    Les formes de l'annonce d'une réforme territoriale par le président de la République le 2 juin dernier sont, à elles seules une caricature (de plus) du système de la V° République: bon plaisir du prince (Hollande contredit ses convictions les plus affirmées jusqu'à un passé récent); arbitrages entre personnalités liées au pouvoir personnel; mise au pied du mur du Parlement.

    On peut ainsi rester vitrifié par tant de mépris démocratique. Le choix de lancer la réforme par le biais du redécoupage des Régions l'aggrave. Alors que ce sujet a fait l'objet de très nombreux rapports, colloques et ouvrages de tant de géographes, historiens, sociologues, politistes, voilà la carte de la nouvelle France esquissée sur un bout de table de l'Elysée à la nuit tombée et dans la plus grande indifférence du travail des chercheurs indépendants.

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  • Paul Alliès - Remaniement et rénovation au Parti Socialiste

    Le changement de Premier ministre est allé avec une opération "coup de poing" à la direction du PS, satisfaisant ainsi une certaine logique institutionnelle et politique: le profil et le projet du nouveau gouvernement devaient trouver une traduction dans le secrétariat national du parti. L'arrivée de Jean-Christophe Cambadelis a semblé résumer ce processus. Or, il masque plusieurs incohérences tant du point de vue de la logique en question que de la rénovation plus que jamais essentielle de la formation socialiste......

    La rénovation est donc du registre de l'idéologie. Elle peut passer par des échanges et des procédures inédits entre différentes sensibilités du PS décidées à cette reconstruction à l'occasion de son prochain congrès dans presque un an. Ces sensibilités qui représentent des histoires et des cultures différentes ont à produire un récit qui retrouve l'attention des laissés pour compte du nouvel ordre libéral.

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  • Jospin et le bonapartisme: l'aveugle et le paralytique.

    14 mars 2014 |  Par Paul Alliès

     

    L'ancien Premier ministre vient de publier un ouvrage au titre prometteur: "Le Mal Napoléonien" (Le Seuil) qui se veut une contribution à la démystification de cette figure tutélaire de l'histoire politique française. Une entreprise ô combien opportune mais hélas complètement ratée sur le double registre du caractère populaire du bonapartisme et de sa reproduction dans l'essence même de la V° République.

    D'abord, l'Histoire. Lionel Jospin est comme fasciné par elle au point que son opus est un long récit qui court sur deux siècles, allant jusqu'à des détails parfois inutiles à la démonstration. Mais quelle démonstration ? Chercher "simplement à estimer si une telle épopée a servi les intérêts de la France. La réponse est clairement non" (p.129). Réponse quelque peu tirée par les cheveux pour ce qui est de la "Constitution administrative"  toujours en place pour l'essentiel (les lois de Pluviose et Ventose de l'An VIII précédant de plusieurs mois le coup d'Etat et la Constitution politique "courte et obscure" du 25 décembre 1799). La critique est  plus convaincante pour mesurer les désastres de la guerre en Europe que l'Empire mena au détriment du printemps des peuples. Le problème est que cette question manque l'objectif de la compréhension du bonapartisme comme culture politique installée durablement en France et exportée de par le monde, de l'Egypte de Nasser à l'Argentine de Péron (plus sérieusement que dans les "populismes" actuels qui tracassent l'auteur)

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  • Paul Allies - Changer de Premier ministre ?

    Ce scrutin municipal apparait comme une réplique du 21 avril 2002. Quels qu'en soient les diagnostics, les réponses semblent toutes passer par un remaniement gouvernemental pouvant aller jusqu'à un changement de Premier ministre. C'est un rituel dans l'histoire et la pratique et l'histoire des institutions de la V° République. Il sera cette fois insuffisant pour sortir la gauche de l'ornière où elle est tombée si ce changement ne va pas avec une autre pratique de la fonction.

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  • Paul Alliès - Légiférer par ordonnance ?

    F. Hollande a confirmé lors du conseil des ministres de ce 2 janvier, ce qu'il avait annoncé le 12 mars dernier: il est devenu urgent de légiférer par ordonnances. Il reprend ainsi la vieille rengaine anti-parlementaire selon laquelle le temps pris pour discuter la loi est du temps perdu.

    Le problème est que cette assertion appartient depuis les années Vingt, à la panoplie des argumentaires de la droite; la gauche, de Blum à Jospin s'y est toujours opposée ou n'y a eu recours qu'en s'excusant, presque honteuse. Hollande lui va plus loin, avec une sorte de fierté stupéfiante, soutenu cette fois par Harlem Désir: il convient de "ne passer par la loi que quand cela est strictement indispensable".

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  • Paul Alliès - Hollande et la Ve République : le général de l'armée morte

    Faut-il commenter le discours de François Hollande prononcé le 3 octobre dernier pour fêter les 55 ans de la Constitution de la Ve République ? La question se pose tant le propos fut creux, convenu et de circonstance: il s'agissait de répondre à la curieuse invitation de Jean-Louis Debré d'autocélébrer le Conseil Constitutionnel en présence des 205 ministres encore en vie des 37 gouvernements qui se sont succédé depuis 1958.

    François Hollande  a célébré lui, à sa manière le reniement de ses promesses de campagne ainsi que de ses bons voeux de janvier 2013. Il a fait plus en laissant croire que son ralliement au référendum d'initiative populaire instauré par Sarkozy était une avancée démocratique. Il est allé plus loin encore en caricaturant une possible 6° République.

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  • Paul Allliès - Une humiliation française

    Le vote du Parlement britannique a surtout été analysé en fonction de l'héritage du blairisme et de sa politique du mensonge lors de la guerre en Irak. Il n'y a pas beaucoup de commentaires sur la bonne santé et les avantages du parlementarisme qu'il exprime. En ce sens, c'est une magistrale leçon administrée à tous ceux,  à droite comme à gauche qui considèrent notre présidentialisme supérieur à tout autre régime. 

    A droite l'histoire retiendra que c'est cette même semaine que des leaders comme Raffarin ou Copé ont annoncé leur préférence pour un gouvernement par ordonnances, c'est-à-dire contournant le Parlement pour des lois jusqu'aux plus ordinaires. Tant pis si Copé renie ainsi les 260 pages de son ouvrage 'Un député, ça compte énormément" (sic) paru en avril 2009 chez Albin Michel.

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  • Paul Alliès : "Une 6° République est possible et utile dès aujourd’hui"

     

     

     

    Article publié dans Libération – Vendredi 3 mai 2013.  Rebonds

    Une 6° République est possible et utile dès aujourd’hui

     

    Comme dans toute bonne crèche provençale qui se respecte, la V° République a ses « ravis ». « Lou ravi »  c’est ce santon qui est aux anges, toujours content, les deux bras levés. Nous avons donc des politologues et des constitutionnalistes qui jouent ce rôle dès qu’une 6° République menace de prendre la place de leur adoration : un régime « stable », d’une « infinie souplesse », « solide » . Ce sont les mots employés par mon collègue Pascal Jan dans Libération de ce 29 avril. Il les avait déjà utilisés le 2 février 2011 dans un Forum du Parti socialiste sur les institutions auquel Manuel Valls l’avait invité. Et il s’emploie une nouvelle fois à démontrer que « les conditions pour un changement de Constitution ne sont ni réunies ni surtout fondées ».

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  • L'actualité des socialistes du 11 au 16 mars (mise à jour)

    A la une Mediapart, Paul Alliès - Primaires: le PS a la mémoire courte

    Ce 1er mars, la direction du Parti socialiste a adressé à ses cadres et parlementaires une circulaire détaillée sur « les modalités de désignation des candidats aux élections municipales de 2014 ». Il n’y est nulle part question de l’organisation de Primaires citoyennes. Les socialistes les ont pourtant pratiquées pour les élections présidentielles les 9 et 16 octobre 2011 ; ils avaient alors jugé que leur réussite avait été essentielle dans l’élection de François Hollande le 6 mai 2012. Le débat sur l’opportunité d’en reprendre le principe en l’adaptant au scrutin municipal a donc logiquement bel et bien lieu d’être.
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    15, 16 et 17 mars

    Le JDD - Montebourg : "La hausse de l'euro ne doit pas effacer tous nos efforts"

    INTERVIEW - Le ministre du Redressement productif veut faire de la Semaine de l'industrie un grand rendez-vous. Il parle de son combat antidépressif. Extraits de l'interview à paraître demain dans le JDD. 

    Le Nouvel Obs - Affaire Cahuzac : le ministre "ne se laisse pas impressionner"

    L'enquête sur l'existence éventuelle d'un compte en Suisse de Jérôme Cahuzac a validé l'enregistrement dans lequel une voix attribuée au ministre du Budget évoque ce compte.

    Public Sénat - Hollande à Bordeaux: bain de foule, coup de pouce et décentralisation

    François Hollande a inauguré samedi le pont Jacques-Chaban-Delmas à Bordeaux, donnant à cette occasion un subtil coup de pouce au possible challenger PS...
    François Hollande a inauguré samedi le pont Jacques-Chaban-Delmas à Bordeaux, donnant à cette occasion un subtil coup de pouce au possible challenger PS d'Alain Juppé aux municipales, avant un bain de foule chaleureux et un éloge de la décentralisation.

    Libé - Refondation de l’Ecole: les grandes orientations du texte votées à l’Assemblée

    L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de jeudi à vendredi l’article 1er du projet de loi sur la refondation de l’Ecole définissant les grandes orientations du texte et programmant la création de 60.000 postes sur le quinquennat.

    Le Monde - L'Assemblée vote l'article 1er de la loi sur l'école

    L'Assemblée nationale a voté dans la nuit de jeudi à vendredi 15 mars l'article 1er du projet de loi sur la refondation de l'école, définissant les grandes orientations du texte et programmant la création de 60 000 postes sur le quinquennat. Cet article d'une trentaine de pages, qui prend la forme d'un rapport annexé au projet de loi, présente les principaux objectifs de la politique éducative, dont des objectifs chiffrés sur l'élévation du niveau des élèves. Il programme aussi les création de postes promises par François Hollande, dont 54 000 pour le seul ministère de l'éducation nationale.

    Le Monde, Le blog de Françoise Fressoz - A l’Elysée, le pragmatisme touche ses limites

    François Hollande est un pragmatique, c’est sa marque de fabrique. Son but est de redresser la France. Il ne le perd jamais de vue mais le chemin qu’il emprunte pour l’atteindre est sinueux. Depuis qu’il est élu, il donne des gages à ses gauches qui ne sont pas raccord entre elles sur l’interprétation du monde. Cela le conduit à des rééquilibrages permanents entre le tout impôt et le trop d’impôts, l’interventionnisme forcené de son ministre du redressement productif et l’envie de donner de l’air aux entreprises.

    Le Nouvel Obs- Sondages : la longue descente en escalier de François Hollande

    Jamais président n'avait atteint aussi vite un tel niveau d'impopularité. Une chute en trois étapes, explique Brice Teinturier (Ipsos)..... Ce n'est dont pas le niveau d'impopularité de François Hollande qui est exceptionnel. C'est qu'il l'atteigne seulement 10 mois après son élection. On voit bien là la raréfaction du temps politique en période de crise. Les jugements critiques se radicalisent de plus en plus vite. C'est d'ailleurs la limite de la comparaison dans le temps long des courbes de popularité

    Libé - Sommet européen: Hollande en pointe sur la Syrie, plus discret sur son budget

    Le président François Hollande s’est livré à un coup d’éclat à Bruxelles en réclamant la levée de l’embargo sur les armes pour l’opposition syrienne, affichant en revanche un profil plus modeste sur la politique budgétaire de la France, plombée par de mauvais résultats économiques. Alors que le dossier syrien n’était pas à l’ordre du jour du sommet européen, le président français, à peine arrivé à Bruxelles, a mis le sujet sur la table, prenant de cours nombre de dirigeants de l’UE.

    Libé - Récépissés policiers : Taubira est pour

    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls n'y est pas favorable.

    La ministre de la Justice Christiane Taubira a répété jeudi lors d’un débat avec les Jeunes Socialistes qu’elle restait favorable à la délivrance d’un récépissé après les contrôles de police, un dispositif rejeté par le ministère de l’Intérieur et Matignon. «J’annonce la couleur très clairement: moi je suis favorable à ce dispositif», a déclaré la ministre dont les propos, mis en ligne sur le site du Mouvement des jeunes socialistes, ont été visionnés vendredi par l’AFP.

    Le Lab - PS : Les proches d’Harlem Désir contre-attaquent contre Jean-Christophe Cambadélis

    Critiqués sur le manque d’audibilité du Parti socialiste, le premier secrétaire du parti à la rose, Harlem Désir, et ses proches contre-attaquent.
    >> Dans le viseur : Jean-Christophe Cambadélis

    Alors qu’il ne cesse de dézinguer à tout-va et de fustiger la mise en retrait du PS dans le dispositif de François Hollande, Jean-Christophe Cambadélis, qui d’après Le Figaro "se réjouit secrètement des déboires du premier secrétaire", est la cible privilégiée de ceux qui défendent Harlem Désir.

    Le Figaro - Cambadélis, le «sniper» du PS

    Le député de Paris accentue ses critiques contre le Parti socialiste d'Harlem Désir. Sa petite musique critique fut d'abord jouée en sourdine. Mais Jean-Christophe Cambadélis a décidé de monter le son, alors que François Hollande et Jean-Marc Ayrault n'en finissent pas de chuter dans les sondages. Lundi, sur Canal +, le député PS de Paris s'est montré d'une grande sévérité avec le Parti socialiste d'Harlem Désir: «pas à la hauteur».

    Le Monde - Candidatures à Paris : voie dégagée pour Hidalgo, moins pour NKM

    ..... La nouvelle est tombée vendredi 15 mars. Jean-Marie Le Guen, le député de Paris qui lorgnait sur la mairie depuis des années, renonce à se présenter. Il l'a annoncé sur Canal+ : "J'ai décidé de soutenir Anne Hidalgo."

    Lyon Capitale - Scandale des logements vacants : l'adjointe au maire de Lyon à la peine sur France 2

    C’est un véritable scandale que Lyon Capitale révélait il y a quelques mois dans une enquête sur les logements vacants des instituteurs à Lyon. Une enquête reprise par Envoyé spécial dans son émission du 14 mars. Interrogée par l’équipe de France 2, l’adjointe au maire de Lyon Nicole Gay ne réussit pas à convaincre.

    Lyon Capitale - Sytral, Ville de Lyon, département, eurométropole... C’est qui le patron des bus ?

    Michel Mercier, Gérard Collomb et François Hollande nous ont bien fait rêver avec l'“eurométropole”. L’espace de quelques semaines, on a vraiment cru en leur volonté de simplifier le millefeuille de la démocratie locale..

    Libé Lyon - Le Medef du Rhône soutient le projet de faire de Lyon une métropole européenne

    .... Et les patrons, eux, qu'en disent-ils? Les dirigeants locaux du Medef ont de la chance. Alors que Gérard Collomb avance à marche forcée sur ce projet, et dans une grande opacité, ils ont eu droit - avec d'autres représentants du monde de l'entreprise membres du réseau "Grand Lyon, l'Esprit d'Entreprise" -, à un briefing spécial de Benoît Quignon, le directeur général de la communauté urbaine.

    FranceTVinfo - Au PS, l'action d'Harlem Désir de plus en plus contestée

    Un peu moins de cinq mois après son élection à la tête du Parti socialiste, voilà déjà Harlem Désir contraint de rendre des comptes à ses camarades. En cause : des critiques, de plus en plus nombreuses, venues d'élus et de responsables du PS. Signataire d'une motion qui a réuni 5% des voix au congrès de Toulouse en octobre, Gaëtan Gorce a le premier ouvert le feu, jugeant "catastrophique" et "contre-productive" l'action du Parti socialiste, dans une interview au Figaro (article payant). "Le premier secrétaire est en permanence à contretemps : il n'est pas là quand nous en aurions besoin et inversement", tacle le sénateur de la Nièvre.

    14 mars

    Le Nouvel Obs - Dijon : dans les coulisses de la visite présidentielle

    VIDEO. Présent pendant deux jours à Dijon, Sylvain Courage nous raconte l'envers du décor d'une visite mouvementée. "Elles sont où les promesses ?" crie un syndicaliste au passage du président de la République dans un quartier de Dijon. Cette scène, vous l'avez sûrement vue à la télévision, mais savez-vous que les journalistes des grandes chaînes ont eu le droit à un recadrage de la part du staff de communication de l'Elysée ?

    Le Monde (blog) - Hollande cherche son salut dans le mouvement

    Vite ! Vite ! Le temps presse. François Hollande accélère. On ne le voit pas courir comme le faisait son prédécesseur mais il presse le pas. Il va recourir aux ordonnances pour lever certains blocages et tenter de relancer l'activité.

    Le Monde - Ordonnances : Hollande joue la carte de l'accélération législative

    L'heure est donc à se hâter. L'exécutif a annoncé qu'il pourrait recourir à des "ordonnances" pour accélérer la prise de décision dans certains domaines. Cette annonce fait écho aux propos de François Hollande lors de son discours du mardi 12 mars, à Dijon : "Chaque fois que l'administration, l'Etat, pourra donner plus tôt une autorisation, lever une procédure qui est inutile, alléger une contrainte, on gagnera en croissance."

    Le Monde - Réforme constitutionnelle : ce qu'a retenu l'exécutif, ce qu'il a écarté

    Ce sera la vingt-cinquième révision de la Constitution de la Ve République depuis 1958. Mais, au lieu d'un seul et même projet, ces modifications sont portées par quatre textes séparés. "Pour des raisons de cohérence et d'unité de chacun d'entre eux, indique-t-on à l'Elysée. Et pour offrir à chacun de ces projets de loi le plus de chances possible d'être adopté." En effet, sur certains dossiers, l'exécutif estime ne pas pouvoir réunir la majorité des 3/5 du Parlement, nécessaire à l'adoption de ces réformes.

    L'Express - PS: le match des grandes gueules

    Les missiles fusent au sein de la famille socialiste. L'Express arbitre le match entre Gérard Collomb, Jean-Christophe Cambadélis, François Rebsamen et l'aile gauche emmenée par Jérôme Guedj, Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel. 

    Libé (abonnés) - Michel Pezet veut mettre Marseille sous tutelle Par OLIVIER BERTRAND

    Michel Pezet, ancien président socialiste de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), a demandé hier officiellement la «mise sous tutelle nationale» de la fédération PS des Bouches-du-Rhône. Après avoir appris dans Libération la convocation d’un conseil fédéral demain soir - le premier depuis le dernier congrès du PS à Toulouse

    La Gazette des communes - « Il faut trouver des financements complémentaires pour l’aide aux victimes » – Nathalie Nieson, députée (PS) de la Drôme

    Dans un entretien au Club prévention sécurité, la députée socialiste Nathalie Nieson, récemment chargée d’une mission auprès de la ministre de la Justice sur le financement des associations d’aide aux victimes, estime que l’Etat doit dégager de nouvelles ressources pour soutenir cette politique et entraîner les collectivités à sa suite.

    Le Lab - Harlem Désir cherche le nouveau directeur de la communication du PS par petite annonce. Salaire annoncé : 70k€ annuels

    PETITE ANNONCE - Diriger trois services, accompagner la "direction politique" dans ses "choix stratégiques" en matière de communication, être au "contact" avec les conseillers en communication des ministères

    Le Nouvel Obs - Pour Rebsamen, Ayrault devrait "virer" un ministre pour l'exemple

    Le président des sénateurs PS, François Rebsamen, a reconnu mercredi avoir conseillé à Jean-Marc Ayrault de "virer" un ministre pour l'exemple. Invité de "Questions d'Info" LCP/FranceInfo/LeMonde/AFP, M. Rebsamen était questionné sur des informations du Canard Enchaîné selon lesquelles il aurait conseillé au chef du gouvernement "de virer un ministre, n'importe lequel". "Mais au moins, fais un exemple . Tous les jours, il y a des annonces prématurées, et même contradictoires. Là, ils s'arrêteront", avait dit M. Rebsamen le 5 mars, selon l'hebdomadaire satirique.

    Le Figaro - Les hommes de Hollande veulent un PS plus offensif

    Les fidèles du chef de l'État, qui ont contribué à imposer Harlem Désir à la tête du PS, s'inquiètent du décalage entre le parti et le gouvernement. Côté face, l'opération reconquête, tentée par François Hollande. Côté pile, celle que mènent en coulisses les hommes du président, ceux que l'on appelle les «hollandais». Leur objectif: reprendre la main sur le Parti socialiste, jugé trop discret ou à contre-emploi. Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, chef de file du clan, a rencontré le premier secrétaire Harlem Désir lundi matin, rue de Solferino.

    13 mars

    Le Monde (blog) - A Dijon, Hollande la tortue se rêve en lièvre

    A qui pensait François Hollande lorsqu'il a lancé mardi 12 mars après midi à Dijon : "Le premier blocage, c'est la lenteur à laquelle trop de monde s'habitue partout" ? Compte tenu de son sens de l'humour avéré, on ne peut exclure que le chef de l'Etat pensait à lui-même. Car la principale critique qui le concerne aujourd'hui ne porte pas sur la politique qu'il conduit mais sur le rythme auquel il la mène.

    Libé - Hollande : «Tous ceux qui veulent m'interpeller peuvent le faire»

    En visite dans une usine de pansements dijonnaise, le président de la République a dit vouloir une «culture du dialogue et non du conflit». François Hollande a estimé mardi que «tous ceux qui veulent» l'«interpeller peuvent le faire», au lendemain d’une visite dans un quartier populaire de Dijon, où il a été pris à partie par des habitants.

    Libé - Pascal Popelin, le cumul assumé

    LES NOUVEAUX VISAGES DE L'ASSEMBLÉE (20) Toutes les semaines, Libération dresse le portrait d'un des 217 primodéputés. Aujourd'hui, le tombeur d'Eric Raoult en Seine-Saint-Denis, un socialiste très remonté contre le projet de loi interdisant le cumul des mandats.

    Libé - Non-cumul des mandats: «rien n’est arbitré», selon Vidalies

    Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a dit mardi lors de l’émission Preuves par trois (AFP/Public Sénat) que «rien n’est arbitré aujourd’hui» sur la date d’application du non-cumul des mandats.

    Le Nouvel Obs - Ecole: la droite à l'offensive contre le projet Peillon, le PS fait front

    La droite est partie mardi à l'assaut à l'Assemblée contre le projet de loi pour la refondation de l'école, qu'elle estime "idéologique" et "bavard", face à des socialistes satisfaits d'une "rupture" de politique, toutefois jugée insuffisante par le Front de Gauche. Cette offensive contre le texte du ministre de l'Education nationale Vincent Peillon, déjà vive lors de la séance des questions au gouvernement, s'est concentrée dans la soirée sur son article 1er.

    Libé - Nicolas Sarkozy préféré à François Hollande, un renversement de tendance

    Les Français préfèrent Nicolas Sarkozy à François Hollande, et Jean-Marc Ayrault à Martine Aubry, selon un sondage Ifop pour Paris Match publié mardi.

    Paris Match - Sondage. Sarkozy préféré des Français

    Pour notre enquête mensuelle exclusive Paris Match Ifop sur le classement des personnalités politiques, Manuel Valls, Christine Lagarde et Bertrand Delanoë forment le trio de tête. Dans les duels, Sarkozy l'emporte sur Hollande.

    Libé (abonnés) - A Dijon, François Hollande renonce aux effets d’annonce

    Analyse Le Président a achevé, hier, sa visite de deux jours en Bourgogne, en essayant d’imprimer sa marque et en martelant son message Par Lilian Alemagna Envoyé spécial à Dijon
    «Pour s’en sortir, il faut que tout le monde se bouge. L’Etat compris.» Quelques minutes après le discours de François Hollande «aux forces vives de la nation» sous les peintures de la salle des Etats de la mairie de Dijon, un conseiller du président de la République peaufine le service après-vente de l’intervention du chef de l’Etat : «Il a remis de l’articulation entre des sujets traités de manière isolée.»

    Libé - Fabius veut une mission de paix de l'ONU au Mali

    Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé mardi le vote «probablement» en avril d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur une opération de maintien de la paix (OMP) au Mali, pour une mise en place en juin. «Nous allons passer du cadre actuel (...) à un nouveau dispositif diplomatique, une opération de maintien de la paix, qui devrait probablement être votée au mois d’avril et appliquée deux mois plus tard, et qui sera chapeautée par l’ONU et financée par les Nations unies», a déclaré M. Fabius devant la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.

    Le Monde - Les mises en garde de Gérard Collomb à François Hollande

    Sur la longue table en verre fumé autour de laquelle il reçoit dans son bureau de l'hôtel de ville de Lyon, Gérard Collomb a posé un unique ouvrage à la couverture rouge pétante sur laquelle est écrit en lettres blanches Et si la France s'éveillait... L'élu socialiste a publié ce livre en mars 2011 chez Plon, soit un peu plus d'un an avant la présidentielle qui a vu la victoire de François Hollande.

    TV 5 Monde - Procès Andrieux: Vauzelle intransigeant envers l'élue pour "l'honneur" de la région Paca

    MARSEILLE (AFP) - 12.03.2013 18:23 - Par Laure BRUMONT
    Le président socialiste de la région Paca, Michel Vauzelle, venu mardi "défendre l'honneur" d'une institution mise à mal par les agissements présumés de la députée PS Sylvie Andrieux, jugée à Marseille pour détournement de fonds publics, a voulu paraître intransigeant envers l'élue.

    France Info - Hollande interpellé par un protestataire à Dijon : "Ce n'est pas là-dessus qu'il faut faire l'actualité"

    Les voitures patinent, les trains s'arrêtent, et rien, pas un mot. Ce qui fait causer c'est une autre image, une de celles qui peuvent tout gâcher, ruiner une opération de communication parfaitement préparée. Celle d'un homme qui crie au passage de François Hollande à Dijon et qui est évacué par le service de protection du président de la République.

    Mediapart - François Hollande chahuté à Dijon par des Français mécontents

    Hollande accusé de faire "la politique du patronat"

    En chute libre dans les sondages, critiqué par la droite mais également par sa propre famille politique et ses anciens "alliés" du second tour de la présidentielle, François Hollande voulait faire de la pédagogie auprès des Français. Pour sa première visite, le président de la République avait choisi la Cote d'Or, et plus spécialement Dijon, où il a passsé la journée de lundi en compagnie de l'un de ses fidèles lieutenants, François Rebsamen, député-maire de la capitale mondiale de la moutarde.

    Libé (abonnés) - «Il est où le président de tous les Français ?»

    Reportage François Hollande, dont la cote chute, a entamé hier un déplacement à Dijon. Par LILIAN ALEMAGNA Envoyé spécial à Dijon
    Les enfants ont décidément un peu de mal avec le changement de président : «Nicolas Sark… euh, François Hollande ! Reste ici !» Après la petite fille du salon de l’Agriculture qui lui demandait, il y a deux semaines,«Il est où Sarkozy ?», c’était au tour d’un gosse d’à peine 10 ans, suspendu la tête en bas le long d’un mur d’escalade d’interpeller hier le chef de l’Etat avec le nom de son prédécesseur.

    La Tribune - Bonus-malus sur l'énergie: le Parlement a finalement adopté définitivement la proposition de loi

    Le Parlement a adopté définitivement dans la nuit de lundi à mardi la proposition de loi PS instaurant un bonus-malus sur la facture d'énergie, après un chemin long et semé d'embûches.

    France 24 - Hollande à Dijon, un "moment de bonheur" selon le maire François Rebsamen

    François Rebsamen, sénateur-maire PS de Dijon et proche de François Hollande, a assuré mardi que la visite de François Hollande dans sa ville était "un vrai moment de bonheur" en dépit de quelques "olibrius".

    Le JDD - Comment le PS compte limiter les dégâts Les socialistes, qui gèrent deux tiers des cent plus grandes villes de France, espèrent franchir l'obstacle électoral avec un minimum de pertes..... Certes, dans les radars du PS, les villes gagnables sont rares. Et pour cause, la gauche détient déjà deux tiers des 100 plus grandes communes françaises. Il faut donc d'abord conserver l'existant. Quelques villes inquiètent (voir carte ci-dessous), mais pas Strasbourg et Toulouse, que la droite convoite. Les espoirs de conquêtes sont plus minces (voir carte). Pour Bordeaux, Vincent Feltesse continue d'y croire, un peu seul. Le futur candidat ne verrait pas d'un mauvais œil une primaire dans cette ville, ce que n'exclut pas le PS.

    12 mars

    Le Monde - A Dijon : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    Ce n'est pas exactement le scénario qu'il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique.

    Le Monde - Hollande 48 heures à Dijon : un air de Mitterrand et de Chirac

    Dans l'esprit de François Hollande, Nicolas Sarkozy menait ses déplacements en province au pas de charge et lui préfère montrer qu'il prend son temps. Mais s'il espère rompre avec son prédécesseur, le président de la République, en organisant à Dijon un déplacement de deux jours, lundi 11 et mardi 12 mars, renoue avec une méthode testée par Jacques Chirac et même avant lui François Mitterrand.

    Libé - Hollande veut une France qui «gagne»

    Le président de la République, en déplacement à Dijon, a rappelé que sa priorité était d'inverser la courbe du chômage. François Hollande a lancé lundi à Dijon un «appel à la mobilisation», réaffirmant son objectif «d’inverser la courbe du chômage» à la fin de l’année et proclamant sur un ton volontariste la capacité de la France à «gagner», à «réussir».

    Libé - Désir : «La France paye la facture laissée par la droite»

    Le premier secrétaire du PS accuse tous les leaders de l'UMP d'être «coresponsables» du surendettement du pays. Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a affirmé lundi que tous les leaders de l’UMP étaient «coresponsables» du surendettement de la France et de sa désindustrialisation.

    La gazette des communes - Rythmes scolaires: la municipalité PS de Strasbourg s’oriente vers une application en 2014

    Le maire (PS) de Strasbourg Roland Ries a publiquement laissé entendre qu'il allait repousser à la rentrée 2014 l'instauration de la semaine de quatre jours et demi dans les écoles de sa ville, selon des propos rapportés dimanche 10 mars 2013 par les Dernières Nouvelles d'Alsace.

    PS - Point-presse hebdomadaire du lundi 11 mars 2013 — Le porte-parole du PS, David Assouline, a évoqué la loi sur la refondation de l'école, qui sera présentée à l'Assemblée nationale ce lundi, et a annoncé le lancement d'un nouveau tract du Parti socialiste en soutien au gouvernement, évoqué le déplacement d'Harlem Désir au Mali et au Niger, et rappelé le lourd passif de l'UMP.

    11 mars

    Le Figaro - Ayrault, Désir, aile gauche : les failles du dispositif hollandais

    Déjà à la peine dans les sondages d'opinion, François Hollande doit composer avec des difficultés au sein de sa majorité.

    • Le doute Ayrault

    Y a-t-il un problème Ayrault? Cette petite musique, mise en sourdine depuis janvier, revient. À la rentrée, le premier ministre avait retrouvé de l'oxygène. Chef d'équipe, il avait convié ses ministres à un séminaire cathartique à Matignon, où chacun avait pu vider son sac. Il invite désormais ses ministres à déjeuner ou dîner, par petits groupes. Mais il a du mal à trouver le tempo.

    Les Echos - Hausse d'impôts ou baisse des dépenses, le PS à front renversé

    La nécessité du rétablissement des comptes publics a suscité, au PS, un tête-à-queue surprenant. Coup sur coup, le premier secréaire, Harlem Désir, et le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, ont récusé de nouvelles hausses d'impôts. « Sur le plan de la fiscalité, il ne faut pas en rajouter. Il y a des réductions de dépenses, des efforts à faire dans toutes les administrations », a averti le premier. « La priorité va à la réduction des dépenses. Je suis contre une nouvelle hausse générale d'impôts », a insisté le second.

    Public Sénat - Delanoë: réforme des rythmes scolaires à Paris dès que ça peut être une réussite

    Bertrand Delanoë, maire PS de Paris, a déclaré lundi qu'il souhaitait appliquer la très discutée réforme des rythmes scolaires du gouvernement "dès que ça peut être une réussite".

    RFI - Jérôme Guedj, député PS et président socialiste du Conseil général de l'Essonne

    «Il faut que les efforts qui vont être demandés soient tous passés au tamis d'une exigence simple: est ce que cela permet la lutte contre le chômage? Je défend plutôt l'idée d'une relance par la consommation, par l'investissement public.»

    Le Figaro - Hollande sous la pression de l'opinion

    INFOGRAPHIE - Le président se rend en Côte-d'Or pendant deux jours, pour «prendre le pouls» du pays. Et pour tenter d'inverser la courbe des sondages.

    Les jours se ressemblent pour François Hollande. Toujours la même litanie de mauvaises nouvelles à annoncer, de mauvais sondages à banaliser, de déclarations de ses ministres à corriger, de tensions à régler au sein de sa majorité. La semaine dernière: lettres de cadrage envoyées aux ministres, record d‘impopularité, déclarations équivoques sur Hugo Chavez de Victorin Lurel, mises en garde de la gauche du PS. 

    Libé (abonnés) - François Hollande à Dijon, car sa cote dort

    ANALYSE Le Président est aujourd’hui et demain en Bourgogne pour tenter de reconquérir l’opinion. Un déplacement d’une durée inhabituelle, à la mesure de l’impopularité du chef de l’Etat. Par GRÉGOIRE BISEAU

    C’est un chef de l’Etat profondément impopulaire qui arrive aujourd’hui à Dijon (Côte-d’Or) pour deux jours d’escapade présidentielle. Il inaugure là un nouveau type de déplacement. On avait reproché à Nicolas Sarkozy de passer en coup de vent (souvent quelques heures) lors de ses visites en province. 

    Libé - Paris: Hidalgo met au défi NKM sur la parité des têtes de liste

    La candidate socialiste aux municipales de 2014 a attaqué sa probable rivale en estimant que ce sont «les barons de l'UMP qui sont à l'origine de sa candidature et l'ont fait venir» dans la capitale.

    La socialiste Anne Hidalgo, candidate à la succession du maire de Paris, Bertrand Delanoë, a appelé dimanche sa possible concurrente, Nathalie Kosciusko-Morizet, à faire la preuve de sa «modernité» en prenant notamment position sur la parité et le non-cumul des mandats.

    Slate - Les socialistes ne savent plus du tout débattre

    Economie, moeurs, évolutions institutionnelles... Le PS n'arrive plus à faire vivre le débat sur ces sujets en interne ou dans son dialogue avec le gouvernement, à tel point que celui-ci est remplacé par des pétitions d'élus dans les médias.

    TF1 - Propos de Lurel sur Chavez : le PS mal à l'aise

    Les propos du secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Victorin Lurel sur Hugo Chavez continuent de faire des vagues ce dimanche. La droite se dit scandalisée. A gauche, Anne Hidalgo assure que "tout ça va être corrigé dans la journée."


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  • Mediapart - Paul Alliès : Le gouvernement des juges

    C'était une vieille peur, souvent invoquée depuis la Révolution française: celle du gouvernement des juges. Autrement dit voir s'ériger des magistrats en créateurs du droit, alors qu'ils ne doivent être que "la bouche de la loi". Cette peur a trouvé un nouveau fondement avec la promotion des cours constitutionnelles et autres juridictions suprêmes. La Cour des Comptes est une de celles-ci. Elle n'en finit pas d'alimenter les craintes de la voir s'ériger silencieusement en pouvoir post-démocratique.

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